Février
Les seules crêpes sucrées au beurre noisette que vous voudrez manger et des crêpes aux lentilles (oui oui!)
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Ding ding! Demain, c’est la Chandeleur!
J’aime toutes les traditions culinaires liées aux différentes fêtes, mais je dois avouer que celle où on peut manger des crêpes matin et soir a une saveur toute particulière!
Je vous arrive avec une affirmation forte : les seules crêpes que vous voudrez manger. Oui, j’y crois. C’est devenu le cas pour moi. Pour vous aussi bientôt, j’espère!
Je tiens cette recette de crêpes de mon frère jumeau Aram. “Hein? T’as un frère jumeau?” Oui, j’ai un frère jumeau!
Aram a travaillé en crêperie. Et il est devenu le maître-crépier de la famille depuis.
Je ne sais pas pourquoi j’ai tant attendu avant de lui demander sa recette. C’est quand j’y ai re-goûté lors de mon dernier passage en France que je me suis dit : “Bon, elles sont définitivement meilleures que celles que je prépare d’habitude!”
Elles sont fines et sucrées. Le beurre noisette leur donne ce petit “je-ne-sais-quoi” prononcé à la Jane Birkin! ;-)
Mon frère m’a donné comme instruction de faire fondre le beurre “jusqu’a ce qu’il soit à peine noisette”. Mais je ne l’ai pas écouté. Comme quand il dit que je suis la petite jumelle et que je dis que je suis la grande. ;-) Je préfère le beurre noisette-noisette dans mon cas ! :D
J’ai également conservé mon astuce d’ajouter progressivement le lait à la farine, avant d’ajouter les œufs, pour éviter les grumeaux. Je vous la partageais dans ce billet.
Enfin la dernière petite modification à la recette que j’ai effectuée (ah je ne peux pas m’en empêcher, que voulez-vous), c’est d’allonger un brin de rien la quantité de liquide. C’est encore une fois une affaire de capacité d’absorption des farines. Elles sont différentes d’un pays à l’autre et même d’une marque à l’autre. Je préfère mes crêpes du côté fin, aussi j’aime ajouter environ 30 à 60 ml (2 c. à soupe à 1/4 de tasse) d’eau ou de lait au mélange, quand ça me paraît trop épais.